Un premier chantier de restauration ou plus exactement de transformation a été lancé en septembre à La Marelle :
la toiture de la soue côté jardin menaçait de s'effondrer un jour ou l'autre , et disposant déjà de pas mal de dépendances , je ne lui trouvais pas d'utilité en tant que bâtiment .
J'ai donc fait venir un entrepreneur pour démonter la toiture et restaurer la jonction avec la toiture de la maison principale .
Les chevrons une fois libérés ont été mis de côté,
Ils serviront à délimiter de futurs carrés potager .
Et comme à l'accoutumée je récupère des tas de cailloux .
Ce nouvel espace est destiné à devenir "jardin fruitier" .
Je garde les poutres en place et je vais les utiliser comme support pour des plantes grimpantes .
J'ai même profité de la journée "portes ouvertes" à l'arboretum des Barres
pour faire quelques achats ,...
Comme image de billet , je choisis une aube récente :le ciel nous en met plein la vue en ce moment . L'aube , c'est un début pas une fin.
Cet article , sert à faire le point , car , bien que je n'ai rien publié depuis un bail , il s'en est passé des choses :ça bondit et rebondit à la Marelle .
C'eût pu être un point final.
Après cet été sec , sec , sec
qui laisse le jardin dans un drôle d'état ,
j'avais pris la décision de vendre la maison
et de me rapprocher de la Puisaye , afin de retrouver un peu d'humidité ,
et surtout de me rapprocher d'humains avec lesquels j'ai des affinités , avec lesquels je pourrais me sentir épaulée .
D'abord , j'ai terminé la Marelle :
et déjà quelques plantes semblent resurgir :
comme ces rosettes d'orchidées et ces...
Le 28 août 2017 je publiais un article :"Je le nomme Marelle" , où je racontais comment m'était venue l'idée de matérialiser le tracé du labyrinthe de Chartres avec les cailloux de mon terrain .
L'hiver et le printemps sont passés, la végétation s'est réveillée
et peu à peu mon chemin s'est perdu dans les hautes herbes .
Alors cet été , tôt le matin ou en fin d'aprem , pour ne pas trop être écrasée par la chaleur , j'ai entrepris de le creuser
sur une dizaine de centimètres de profondeur et de remblayer avec les pierres découvertes un peu partout lors des divers travaux que nous effectuons .
celles -ci viennent de la cour , d'autres des fondations du poulailler.
Au fond je mets les plus grosses puis des moyennes et je termine par les plus petites .
Voilà l'outillage requis :la pioche pour creuser le sillon (ou...